Dans le but de faire connaitre le milieu entrepreneurial et regrouper l’information sur le développement économique de la MRC Maria-Chapdelaine, la Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) lance son balado intitulé Territoire en mouvement.
Le premier épisode sera diffusé le 22 janvier prochain. Selon l’agente de développement à l’origine du projet, Ève Gagnon-Bouchard, le balado se veut un outil de promotion du territoire.
« Le but est vraiment de créer un canal d’information. Il y a plusieurs choses qui se passent dans notre MRC et l’information peut parfois être éparpillée à plusieurs endroits. Avec le balado, on souhaite centraliser cette information autant pour les acteurs du milieu que pour les citoyens afin qu’ils puissent se mobiliser », lance Ève Gagnon-Bouchard.
En plus de mettre en lumière le développement économique de la MRC Maria-Chapdelaine, Territoire en mouvement donne également la parole à des entrepreneurs du milieu.
« Nous recevons des entrepreneurs locaux qui viennent nous parler de différents sujets entourant l’entrepreneuriat allant de leur parcours à des témoignages sur des expériences qu’ils ont vécues. Nous ciblons des entrepreneurs qui ont des expertises précises afin d’inspirer d’autres entrepreneurs de la MRC à innover dans leur entreprise », poursuit l’agente de développement.
La première saison de Territoire en mouvement comptera 10 épisodes. Des sujets tels que les circuits touristiques du territoire, le projet de communauté nourricière de la MRC Maria-Chapdelaine et la présentation d’organismes sans but lucratif sont au menu pour les premiers épisodes.
« Le projet de communauté nourricière de la MRC Maria-Chapdelaine demeure un sujet qui est méconnu des citoyens. C’est un bon exemple d’un projet qui est en cours sur lequel la population pourra se renseigner en écoutant les épisodes. Le balado nous permet à la fois de promouvoir la mission de la SADC tout en aidant la population », ajoute-t-elle.
Médium en vogue
Avec la montée en popularité de la baladodiffusion dans la province, ce médium commence à prendre de l’ampleur dans la région. Si le nombre de balados augmente, la SADC possède toutefois un créneau bien précis qui la distingue des autres projets.
« Nous souhaitions innover et montrer que même dans une petite communauté comme la nôtre, il est possible de créer ce genre de contenu et d’avoir des sujets intéressants », conclut Ève Gagnon-Bouchard.